Saturday, November 2, 2013

Le français en Louisiane, langue de résistance?

Depuis que je suis arrivée en Bretagne, j'ai découvert une culture si proche de la nôtre. Quand je demande: «tu parles breton?" ou "Où j'peux entendre la langue bretonne?", je reçois les mêmes réponses si je demandais en (dans la) Louisiane "tu parles français?". J'sus pas un professionnel de la langue, et j'sais pas l'état actuel de la langue bretonne. Anyhow, les Bretons sont très fiers d'être breton. C'est également applicable à d'autres groupes linguistiques différents, comme le Gallo. En bas, c'est une vidéo que j'ai trouvé sur internet. Vous-autres pense à ce senario comme si c'était en Louisiane. (Désolé si la transcription c'est pas exact. Comme tu peut voir, c'est pas complet.)




Voilà un livre, Claude Hagege, ça s’appelle “Halte à la mort des langues.” Claude Hagege nous dit qu’il exsite à peu près cinq milles langues. Et que tous les ans, vingt-cinq disparaissent. Bref, On parle beaucoup de bio-diversité mais on parle peu de socio-diversité. C’est un paradoxe. On se promène dans les rues de Rennes Lafayette on peut entendre parler chinois, anglais, espagnol, arabe, turc… peu ou jamais, Breton le français de la Louisiane. Et pourtant, on l’a dit la fois dernière, cette langue bretonne louisianaise elle continue à exister. Cette langue minoritaire statistiquement continue à exister comme un facteur de minorisation de la langue française anglaise, à la fois phonétiquement de l’intérieur par les accents mais aussi grammaticalement mais aussi dans son lexique, dans ses expressions par les fameux bretonismes louisianismes qui ont ete remis à l’honneur. Ainsi, le Breton français louisianais continue à exister à l’interieur meme du français anglais, elle le hante, elle le destabilise  et le déregularise, elle est une facteur de creation, un facteur de vie. Il est a souhaiter que cette langue minoritaire recoive un statut qui lui permette non seulement de survivre ainsi comme un fantome, mais aussi de survivre dans l’usage, un veritable usage au quotidien comme langue dite vivante. Ce n’est pas impossible. On voit par exemple qu’une langue morte comme l’hébreu est redevenue une langue d usage Mais, Imaginons, Souhaitons qu’un nouveau statut, de nouvelles dispositions, permettent enfin aux Bretons Louisianais ou a ceux qui veulent l’apprendre d’en user, de la parler, dans les echanges au quotidien, et pourquoi pas dans les echanges les plus administratifs ou dans les echanges commerciaux. Bref, une langue qui est vraiment parlée et qui nous se contente pas de subsister dans un petit ghetto scolaire ou dans un petit ghetto culturel ou politique. Imaginons cela, Souhaitons le meme, Alors se pose la questions. Quelle sera la destine de cette langue? Enfin, liberé. Delivré. Nul ne le sait, Mais et c’est la je pense un point sur lequel nous devons faire attention. Nous devons porter l’attention. Si le Breton français est reparlé. Si le Breton français est delivre. Sera-t-il a son tour un langue de pouvoir ou continuera-t-elle cette langue a etre un point de resistance de pouvoir. Resistance qui ne s’ exprime jamais mieux que dans la creation. Dans les chansons ou dans les romans ou dans toute forme d’expression orale et ecrite qui innove. On peut avoir quelqu’un qui (étude) car il y a une pente. Prenons… Souvenons nous de Descartes. Il écrit des meditations cartesiennes en francais. C’est un scandale. Il resiste a la langue egemonique, a la langue maitresse savante de l’epoque qui est le latin. Et voyons ce qu’est devenu le francais. Au moment ou ……. l’emploi, c’est subversif. Puis le francais anglais devient langue maitresse, langue oppressive. Si le Breton français revit,  sera t-il une langue oppressive ? Il le peut. On peut voir par exemple que dans la region de Bruxelles, une certaine politque de la langue flamande devient oppressive a l’egard des francophones qui n’ont plus le droit de parler francais. Ou meme en Catalogne ou les hispanophones n’ont guère plus le droit, ou on le leur fait sentir en tout cas, de parler espagnol. Si le Breton français revit. Ce qui a souhaiter. Ce qui encore plus a souhaiter c’est que cette langue revive pour rester un point de resistance au pouvoir et qu’elle ne soit jamais une langue de pouvoir.