Tuesday, September 2, 2014

Des hymnes liturgiques chantées en français.

Ces vidéos ne peuvent pas capturer le sentiment incroyable et puis la grandeur que j'ai vécu en Bretagne dans les vieilles églises. Néanmoins, voici quelques hymnes que j'ai entendu à la messe. (J'ai pas entendu le numéro 7, mais c'est une bonne chanson qu'est chantée dans la militaire française aussi) P.S. Elles ne sont pas dans un arrangement spécifique. (du meilleur au pire, etc)

1. Humblement dans le silence de mon coeur


Humblement dans le silence de mon coeur
Je me donne à toi mon seigneur.

Par ton amour, fais-moi demeurer humble et petit devant toi.

Humblement dans le silence de mon coeur
Je me donne à toi mon seigneur.

Entre tes mains, je remets ma vie, ma volonté, tout mon être.


Humblement dans le silence de mon coeur
Je me donne à toi mon seigneur.


Enseigne-moi ta sagesse, Ô Dieu, viens habiter mon silence.

Humblement dans le silence de mon coeur
Je me donne à toi mon seigneur.

Je porte en moi ce besoin d'amour, de me donner, de me livrer, sans retour.

Humblement dans le silence de mon coeur
Je me donne à toi mon seigneur.

Vierge Marie, garde mon chemin dans l'abandon, la confiance de l'amour.

Humblement dans le silence de mon coeur
Je me donne à toi mon seigneur.

2. Je vous ai choisis



Je vous ai choisis, je vous ai établis
Pour que vous alliez et viviez de ma vie.
Demeurez en moi, vous porterez du fruit ;
Je fais de vous mes frères et mes amis.

Contemplez mes mains et mon cœur transpercés ;
Accueillez la vie que l´Amour veut donner.
Ayez foi en moi, je suis ressuscité,
Et bientôt dans la gloire, vous me verrez.

Recevez l´Esprit de puissance et de paix ;
Soyez mes témoins, pour vous j´ai tout donné.
Perdez votre vie, livrez-vous sans compter ;
Vous serez mes disciples, mes bien-aimés !

Consolez mon peuple ; je suis son berger.
Donnez-lui la joie dont je vous ai comblés.
Ayez pour vos frères la tendresse du Père,
Demeurez près de moi, alors vous vivrez !

3. Debout resplendis

Debout, resplendis
Debout, resplendis, car voici ta lumière,
Et sur toi la gloire du Seigneur (bis).
Lève les yeux et regarde au loin,
Que ton coeur tressaille d'allégresse.
Voici tes fils qui reviennent vers toi,
Et tes filles portées sur la hanche.

Jérusalem, Jérusalem,
Quitte ta robe de tristesse !
Jérusalem, Jérusalem,
Chante et danse pour ton Dieu.

Toutes les nations marcheront vers ta lumière,
Et les Roys à ta clarté naissante (bis).
De nombreux troupeaux de chameaux te couvriront,
Les trésors des mers afflueront vers toi,
Ils viendront d'Epha, de Saba, de Qédar,
Faisant monter vers Dieu la louange.

Les fils d'étrangers rebâtiront tes remparts,
Et leurs Roys passeront par tes portes (bis).
Je ferai de toi un sujet de joie,
On t'appellera « Ville du Seigneur ».
Les jours de ton deuil seront tous accomplis,
Parmi les nations tu me glorifieras.

4. Heureux, Bienheureux


Heureux, bienheureux,
Qui écoute la parole de Dieu.
Heureux, bienheureux,
Qui la garde dans son cœur. 

De quel amour, j'aime ta loi?
Tout le jour, je la médite
Je surpasse en sagesse tous mes maitres,
car je médite tes exigences

Des chemins du mal, je détourne mes pas
afin d'observer ta parole
De tes décisions, je ne veux pas m'écarter,
car c'est Toi qui m'enseignes

Qu'elle est douce à mon palais ta promesse:
le miel a moins de saveur dans ma bouche,
Tes préceptes m'ont donné l'intelligence:
je hais tout chemin de mensonge.

Ta parole est la lumière de mes pas,
la lampe de ma route.
Je l'ai juré, je tiendrai mon serment,
j'observerai tes justes décisions.

Heureux, bienheureux,
Qui écoute la parole de Dieu.
Heureux, bienheureux,
Qui la garde dans son cœur. 

6. Kyrie des gueux




Holà ! Marchons, les gueux,
Errant sans feu ni lieu,
Bissac et ventre creux,
Marchons, les gueux !

Kyrie, eleison,
Miserere nostri.

Bissac et ventre creux,
Aux jours calamiteux,
Bannis et malchanceux,
Marchons, les gueux !

Bannis et malchanceux,
Maudits comme lépreux,
En quête d'autres cieux,
Marchons, les gueux !

En quête d'autres cieux,
Rouleux aux pieds poudreux,
Ce soir chez le Bon Dieu,
Frappez, les gueux !

Ce soir chez le Bon Dieu,
Errant sans feu ni lieu,
Bissac et ventre creux,

Entrez, les gueux !


7. Qui mange ma chair



Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui, 
Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui. 

Contre-chants :

Si vous ne mangez pas la chair du Fils de l'homme, vous n'aurez pas la vie en vous. 
Si vous ne buvez pas le sang du Fils de l'homme, vous n'aurez pas la vie en vous.

Je suis le pain vivant. Celui qui vient à moi n'aura plus jamais faim. 
Celui qui croit en moi, plus jamais n'aura soif.

Ma chair est une vraie nourriture, mon sang est une vraie boisson : 
Si vous mangez ma chair, si vous buvez mon sang, au dernier jour je vous ressusciterai.

Le véritable pain du ciel, c'est mon Père qui le donne. 
C'est moi qui suis le pain de Dieu, le vrai pain qui donne la vie.

Le pain que je donne, c'est ma chair, ma chair pour la vie du monde. 
Tel est le pain qui descend du ciel : celui qui le mange ne meurt pas !

8. Fais paraitre ton jour


Fais paraître ton Jour, 
et le temps de ta grâce, 
Fais paraître ton Jour : 
que l'homme soit sauvé !

1. Par la croix du Fils de Dieu, signe levé qui rassemble les nations, 
Par le corps de Jésus-Christ dans nos prisons, innocent et torturé, 
Sur les terres désolées, terres d'exil, sans printemps, sans amandier.

2. Par la croix du Bien-Aimé, fleuve de paix où s'abreuve toute vie, 
Par le corps de Jésus-Christ, hurlant nos peurs dans la nuit des hôpitaux, 
Sur le monde que tu fis, pour qu'il soit beau, et nous parle de ton nom.

3. Par la croix du Serviteur, porche royal où s'avancent les pécheurs, 
Par le corps de Jésus-Christ, nu, outragé, sous le rire des bourreaux, 
Sur les foules sans berger et sans espoir qui ne vont qu'à perdre cœur.

4. Par la croix de l'Homme-Dieu, arbre béni où s'abritent les oiseaux, 
Par le corps de Jésus-Christ recrucifié dans nos guerres sans pardon, 
Sur les peuples de la nuit et du brouillard que la haine a décimés.

5. Par la croix du vrai pasteur, Alléluia, où l'enfer est désarmé, 
Par le corps de Jésus-Christ, Alléluia, qui appelle avec nos voix, 
Sur l'Église de ce temps, Alléluia, que l'Esprit vient purifier.

6. Par la croix du Premier-Né, Alléluia, le gibet qui tue la mort, 
Par le corps de Jésus-Christ, Alléluia, la vraie chair de notre chair, 

Sur la pierre des tombeaux, Alléluia, sur nos tombes à venir.

9. Si le père vous appelle


Si le Père vous appelle à aimer comme il vous aime,
Dans le feu de son Esprit, bienheureux êtes-vous !
Si le monde vous appelle à lui rendre une espérance,
A lui dire son salut, bienheureux êtes-vous !
Si l´Eglise vous appelle à peiner pour le Royaume,
Aux travaux de la moisson, bienheureux êtes-vous !

Tressaillez de joie ! Tressaillez de joie !
Car vos noms sont inscrits pour toujours dans les cieux !
Tressaillez de joie ! Tressaillez de joie !
Car vos noms sont inscrits dans le coeur de Dieu !

Si le Père vous appelle à la tâche des apôtres,
En témoins du seul Pasteur, bienheureux êtes-vous !
Si le monde vous appelle à l´accueil et au partage
Pour bâtir son unité, bienheureux êtes-vous !
Si l´Eglise vous appelle à répandre l´Evangile
En tout point de l´univers, bienheureux êtes-vous !

Si le Père vous appelle à quitter toute richesse
Pour ne suivre que son Fils, bienheureux êtes-vous !
Si le monde vous appelle à lutter contre la haine
Pour la quête de la Paix, bienheureux êtes-vous !
Si l´Eglise vous appelle à tenir dans la prière,
Au service des pécheurs, bienheureux êtes-vous !

Si le Père vous appelle à parler de ses merveilles,
A conduire son troupeau, bienheureux êtes-vous !
Si le monde vous appelle à marcher vers la lumière
Pour trouver la vérité, bienheureux êtes-vous !
Si l´Eglise vous appelle à semer avec patience
Pour que lève un blé nouveau, bienheureux êtes-vous !

Si le Père vous appelle à montrer qu´il est tendresse,
A donner le pain vivant, bienheureux êtes-vous !
Si le monde vous appelle au combat pour la justice,
Au refus d´être violents, bienheureux êtes-vous !
Si l´Eglise vous appelle à l´amour de tous les hommes
Au respect du plus petit, bienheureux êtes-vous !

10. Tu es la vraie lumière jaillie dans notre nuit




Tu es la vraie lumière jaillie dans notre nuit. Printemps de notre 
terre, c'est toi qui nous conduis. Tu es le beau visage, clarté 
dans le matin. D'un radieux message, nous sommes les té-
moins.

Victoire qui délivre des marques du péché, Ta Pâques nous fait 
vivre en vrais ressuscités. Parole vivifiante, tu viens pour notre 
faim ; dans notre longue attente, ton corps est notre pain.

Tu fais de nous des frères rassemblés par ta croix. Enfants d'un 
même Père, nous partageons ta joie. Merveille de ta grâce, tu 
viens nous libérer. Qu'en ton amour se fasse, Seigneur, notre 
unité.